En marge du forum économique mondial du Davos, Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a fait une déclaration qui n’est pas passée inaperçue. « Le changement climatique court plus vite que nous ; nous sommes en train de perdre la course, et ce pourrait être une tragédie pour la planète ». Le réchauffement climatique est l’une des conséquences les plus connues : le CO2 émis par les énergies fossiles contribue à perturber l’équilibre de l’atmosphère et donc le climat, entraînant la multiplication d’évènements météorologiques extrêmes et des catastrophes climatiques.
En marge du forum économique mondial du Davos, Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a fait une déclaration qui n’est pas passée inaperçue. « Le changement climatique court plus vite que nous ; nous sommes en train de perdre la course, et ce pourrait être une tragédie pour la planète ». Le réchauffement climatique est l’une des conséquences les plus connues : le CO2 émis par les énergies fossiles contribue à perturber l’équilibre de l’atmosphère et donc le climat, entraînant la multiplication d’évènements météorologiques extrêmes et des catastrophes climatiques. En effet, sans protection de l’environnement, la capacité des sociétés humaines à se développer et même à survivre pourrait être rapidement remise en cause. La nécessité de faire des choix pour une meilleure gestion des ressources énergétiques passe peu à peu de la simple velléité à celui de la réalité tangible. En ce qui concerne l’irrigation, le besoin d’économiser l’eau n’a jamais été si important. La modernisation du matériel d’irrigation, mais également la conduite de l’irrigation sont susceptibles de permettre des économies d’eau pouvant aller jusqu’à 25% sans diminution du rendement des cultures*. A l’écoute de ces nouvelles données, les fabricants mettent inlassablement au point de nouvelles méthodes : arrosage à faible débit et faible pression, détection du stress hydrique des plantes, éco-irrigation, recyclage des déchets plastiques. Désormais la maîtrise de l’eau et des cultures devrait permettre, dans le cadre d’un marché aujourd’hui mondialisé, une croissance durable et acceptable à la fois pour l’homme et son environnement.
*voir étude IRSTEA