Le réchauffement climatique est en marche : il sera de + 1 à + 5 ° à la fin du siècle si nous continuons à produire autant de gaz à effet de serre qu’aujourd’hui. Ce réchauffement il ne faut pas seulement l’imaginer adoucissant agréablement l’hiver mais plutôt au mois d’août dans une fournaise à 40 °.
Il faudra aussi s’attendre à des feux de forêts et à des épisodes pluvieux et autres catastrophes climatiques à l’image de celles qui ont dévasté les caraïbes et la côte sud des États-Unis le mois dernier.
Le réchauffement climatique est en marche : il sera de + 1 à + 5 ° à la fin du siècle si nous continuons à produire autant de gaz à effet de serre qu’aujourd’hui. Ce réchauffement il ne faut pas seulement l’imaginer adoucissant agréablement l’hiver mais plutôt au mois d’août dans une fournaise à 40 °.
Il faudra aussi s’attendre à des feux de forêts et à des épisodes pluvieux et autres catastrophes climatiques à l’image de celles qui ont dévasté les caraïbes et la côte sud des États-Unis le mois dernier.
On peut pourtant agir : réduire drastiquement les émissions de gaz à effets de serre en suivant les recommandations de la COP 21 et lutter contre la pollution en multipliant les espaces verts. Les municipalités sont au cœur de cette dynamique, travaillant en partenariat avec les agriculteurs à proximité des villes pour lutter contre les pollutions, préserver les sols et protéger les ressources en eau.
Malheureusement, les coûts d’investissement et d’entretien sont trop souvent un frein au développement des infrastructures vertes en dépit d’une demande sociale forte. Les pouvoirs publics vont devoir s’emparer de cette urgence en mettant en œuvre des politiques financières incitatives envers les municipalités. L’avenir nous dira si le message a été compris.