À la fin de cette année 2015, faite de nombreuses tragédies et de quelques bonnes nouvelles, il faut s’habituer à vivre dans un monde de plus en plus incertain. Mais au milieu des désordres et du chaos qu’a été 2015, de nombreuses tendances se dessinent : la violence s’est accentuée, violence des mots, violence des attentats terroristes, violence du climat avec ses inondations catastrophiques, cyclones et autres déchaînements imprévisibles.
À la fin de cette année 2015, faite de nombreuses tragédies et de quelques bonnes nouvelles, il faut s’habituer à vivre dans un monde de plus en plus incertain. Mais au milieu des désordres et du chaos qu’a été 2015, de nombreuses tendances se dessinent : la violence s’est accentuée, violence des mots, violence des attentats terroristes, violence du climat avec ses inondations catastrophiques, cyclones et autres déchaînements imprévisibles.
Le temps est fini où l’on pouvait dire que le monde était devenu plus paisible. Le « printemps arabe » n’est plus qu’un lointain souvenir.
En revanche, une formidable prise de conscience a commencé, illustrée en premier lieu par le triomphe diplomatique de la COP 21 qui a uni tous les pays de la planète dans une même croisade climatique dont il faudra toutefois attendre 2023 pour en voir les résultats; en deuxième lieu, l’abandon de leur fortune par plusieurs milliardaires américains, dont Mark Zuckenberg, font passer recherche et innovation avant toute autre préoccupation.
Enfin, et c’est sans doute l’essentiel, de nouvelles technologies ont submergé la planète pour imaginer un futur propre : le solaire, l’hydraulique, l’efficacité énergique, le nucléaire, la forêt, l’éolien et j’en passe.
2015 restera donc comme une année haute en contradiction mais aussi en espoirs. Pour le meilleur ou pour le pire ? L’avenir nous le dira. En attendant continuons à arroser avec l’espoir de rendre notre planète plus verte et plus accueillante.