Editorial

Personne ne pourra nier que l’année 2016 a été calamiteuse : entre les catastrophes naturelles, le dérèglement climatique, les inondations, la sécheresse, les incendies, sans oublier ces attentats barbares et les hordes de réfugiés en route pour une vie qu’ils espèrent meilleure et se retrouvent noyés au fond de l’eau. On se demande comment le monde ne cède pas à la panique. Toutes ces malédictions se greffant sur une crise environnementale sans précédent. Nous consommons tant de ressources et produisons tant de déchets que nous avons atteint un seuil critique.

Personne ne pourra nier que l’année 2016 a été calamiteuse : entre les catastrophes naturelles, le dérèglement climatique, les inondations, la sécheresse, les incendies, sans oublier ces attentats barbares et les hordes de réfugiés en route pour une vie qu’ils espèrent meilleure et se retrouvent noyés au fond de l’eau. On se demande comment le monde ne cède pas à la panique. Toutes ces malédictions se greffant sur une crise environnementale sans précédent. Nous consommons tant de ressources et produisons tant de déchets que nous avons atteint un seuil critique. Chacun réalise aujourd’hui que notre modèle de croissance est obsolète. Tout le monde rêve d’un monde plus respectueux de la nature, de villes plantées d’arbres et de parcs, chacun prend conscience qu’il faut préserver l’environnement. Toutefois, penser que l’on peut nourrir les hommes sans irriguer reste une utopie. Bien que de nouvelles pistes apparaissent, dont les fermes urbaines verticales, se convertir au végétarien, se nourrir de sauterelles, scorpions ou vers de terre… J’en passe et des meilleures.

 

Toutefois, adopter un nouveau modèle de développement plus durable et respectueux de la planète s’impose aujourd’hui au monde entier. La COP 21 est là pour en témoigner espérons que chacun respectera ses engagements et que la planète terre sera sauvée.