Edito : S’adapter à une urbanisation galopante

Chaque année, le nombre de citoyens augmente de 60 millions. En 2050, 70 % de la population vivra en ville. La planète compte désormais 21 villes de plus de 10 millions d’habitants. L’urbanisation  n’est plus un phénomène lié aux pays riches. Les grandes villes occidentales ont été supplantées par les mégapoles indiennes et brésiliennes. La physio­nomie de la planète est en pleine mutation : sur le plan écologique, tout reste à faire et les habitants se mobilisent contre la pollution.

Chaque année, le nombre de citoyens augmente de 60 millions. En 2050, 70 % de la population vivra en ville. La planète compte désormais 21 villes de plus de 10 millions d’habitants. L’urbanisation  n’est plus un phénomène lié aux pays riches. Les grandes villes occidentales ont été supplantées par les mégapoles indiennes et brésiliennes. La physio­nomie de la planète est en pleine mutation : sur le plan écologique, tout reste à faire et les habitants se mobilisent contre la pollution. La dimension environnementale des villes devient une préoccupation essentielle et l’effort apporté à l’embellissement des espaces verts est considérable. La filière verte a de nombreuses cartes en main pour répondre à cette évolution. Les nouvelles technologies mises au point par nos construc­teurs vont bientôt permettre d’arroser pratiquement sans eau (ou avec des eaux recyclées ou de récupération) murs de verdures, toitures végetalisées, la liste est longue et les trésors d’imagination déployés par notre profession immense. Lutter contre la pollution des mégapoles deviendra dans un proche avenir une priorité.

Le  potentiel est vaste encore faudra t-il s’adapter à ces nouveaux marchés.