Edito

Puisque les villes dévorent petit à petit la campagne, pourquoi ne pas faire venir les campagnes dans les villes ? Longtemps utopique, cette idée fait son chemin et des projets étonnants voient le jour.

 

« Les Tours vertes » sont à la mode. En 2050, il y aura 7 milliards de citadins à nourrir et le concept de fermes urbaines se propage sur tous les continents : à Singapour, au Japon, à Montréal comme à Paris, les adeptes de l’agriculture verticale s’en donnent à cœur joie. Quinze  ans après, aucune ferme géante n’a encore vu le jour ; mais elles n’ont rien d’une utopie.

Puisque les villes dévorent petit à petit la campagne, pourquoi ne pas faire venir les campagnes dans les villes ? Longtemps utopique, cette idée fait son chemin et des projets étonnants voient le jour.

 

« Les Tours vertes » sont à la mode. En 2050, il y aura 7 milliards de citadins à nourrir et le concept de fermes urbaines se propage sur tous les continents : à Singapour, au Japon, à Montréal comme à Paris, les adeptes de l’agriculture verticale s’en donnent à cœur joie. Quinze  ans après, aucune ferme géante n’a encore vu le jour ; mais elles n’ont rien d’une utopie.

 

Pas sûr pourtant que tout le monde se réjouisse de cette agriculture dopée aux nouvelles technologies ; par sûr non plus que les consom­mateurs plébiscitent en masse ces légumes de science-fiction.

 

Faudra-t-il s’adapter à cette nouvelle agri­culture et pour quel avenir ?  Ou continuer à soutenir notre agricul­ture, elle aussi à la pointe du progrès et gardienne de nos paysages, et nos systèmes d’irrigation à la pointe de la technologie et très économes en eau, que vous pourrez découvrir dans les pages suivantes avec l’article VRI sur les pivots, le goutte-à-goutte ou la gestion centralisée de l’arrosage.